Saturday, January 14, 2017

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Détails sur le produit

  • Rang parmi les ventes : #83177 dans Livres
  • Publié le: 2017-01-19
  • Sorti le: 2017-01-19
  • Langue d'origine:
    Français
  • Dimensions: 4.25" h x
    .59" l x
    7.01" L,
  • Reliure: Poche
  • 400 pages

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

16 internautes sur 16 ont trouvé ce commentaire utile.
5Probablement le roman de Giono le plus juste humainement
Par Muriel Lecomte
Très loin des formidables Regainou Colline, ce roman fait tout de suite songer à Mme Bovary. Toutefois, l'héroïne est décrite toute en finesse, en subtilités de comportements qui la rendent finalement très attachante. Et ceci malgré le doute qui plane sur ses actes.Cet ouvrage illustre parfaitement toute l'étendue du talent (méconnu) de Giono, capable de confronter les personnages aux pires passions, de les faire se noyer dans leurs passions. Le trouble que dégage Thérèse est magnifiquement transmis.A la réflexion, s'il est un roman de Giono que l'on devrait étudier en lycée, sans doute est-ce celui-ci. Ou bien Un roi sans divertissement.Les fans de "Regain" ou même la trilogie débutant par "Le hussard sur le toit", risquent bien de découvrir ici un auteur moins simpliste qu'ils ne pensaient... Bonne lecture !

24 internautes sur 28 ont trouvé ce commentaire utile.
5Eclairage à Giono de l'âme humaine: pas joli joli.
Par shuffle master
Pour ceux qui ne l'ont pas lu, Giono est un écrivain provençal, presque régionaliste, alors qu'il est à mille lieues des pagnolades en nom propre ou par fidéicommis. Pour ceux qui ne le liront pas, Giono est un pacifiste bêlant qui a eu quelques ennuis à la Libération. Ceux qui l'ont fait ont généralement jeté leur dévolu sur Le Hussard sur le toit, Le Grand troupeau ou Que ma joie demeure. D'autres, on ne sait pourquoi, ont ouvert Les Âmes fortes, roman ici par des veaux lu, comme le montrent les commentaires et le texte de présentation qui figurent sur le présent site.La rédactrice de la notice, Nathalie Gouiffès (qui est cette dame?) voit en effet dans le personnage de Thérèse un personnage stendhalien victime de la passion. Au-delà du contresens total (rien n'est moins stendhalien que Thérèse et si elle est gouvernée par quelque chose, ce n'est certainement pas par la passion), Mme Gouiffès, comme des centaines d'autres critiques, recycle les âneries, genettiennes et autres, colportées par les facultés des lettres depuis trente ans, en les appliquant à tout et surtout à n'importe quoi.Les commentateurs en rajoutent une louche puisque l'un d'eux évoque Mme Bovary, tandis que l'autre regrette le côté décousu de l'oeuvre. Une autre enfin avoue qu'elle n'a rien compris. Elle a cependant une excuse ; elle est étudiante.Après avoir lu À rebours, Barbey d'Aurevilly avait prédit que son auteur n'avait plus le choix qu'entre la bouche d'un pistolet et les pieds de la croix. Après avoir lu Les Âmes fortes, on n'a qu'une envie : voir disparaître au plus vite ses contemporains et se retirer dans un endroit désert (au milieu des algues et des sangliers morts par exemple).Au cours d'une veillée funèbre réunissant quelques commères, est évoquée la vie de Thérèse, par l'intéressée elle-même, puis par une deuxième personne qui donne des faits, du moins au début, une toute autre version. L'histoire, les histoires se déroulent dans la Drôme, principalement à Châtillon, petite ville battue l'hiver par la bise descendue des montagnes et abattue l'été par le soleil, ville moisie, pays moisi « où on a tellement de temps que, tout ce dont on a envie, on ne finit par l'avoir que fondu ». Belle définition de la province. On va assister, de plus en plus mal à l'aise, au parcours de Thérèse qu'on a du mal à qualifier d'ascension, puisque si elle passe de fille de condition, puis d'auberge, à patronne et accessoirement à mère maquerelle, ce n'est pas l'argent qui l'intéresse. Elle finit par s'apercevoir que ce qui la fait agir, c'est le goût du sang : elle comme un furet devant une cage à lapins. Et des lapins, il n'en manque pas : son mari, ses patronnes, les commerçants de Châtillon, les notables, les dames patronnesses, des prêtres. Tous seront manipulés, réduits à l'état de pantins pathétiques ou détruits. Beaucoup, d'ailleurs le méritaient amplement. Le lecteur, comme je l'ai dit, est très vite mal à l'aise car Giono fait le tour complet dans ce roman de toutes nos petites et grandes lâchetés, de nos compromissions, de nos abjections et je défie quiconque de ne pas s'y retrouver au moins une fois. Thérèse n'est ni Emma Bovary, ni un personnage stendhalien, c'est l'ange de la dévastation qui précède l'Apocalypse. J'ai dit. Merci qui ?

7 internautes sur 8 ont trouvé ce commentaire utile.
4Cruelles scènes de la vie de province
Par Palamède
Dans ce roman polyphonique qui a pour cadre une veillée mortuaire qui donne le vertige dans les 50 premières pages, Giono dresse le portrait de Thérèse. C'est une âme forte, telle qu'il la définit page 349 de cette édition, par des récits complémentaires et contradictoires qui finissent cependant par trouver une unité de ton et de point de vue qui n'est pas l'impression de lecture la moins dérangeante!La cruauté, le calcul, la noirceur des motifs et des pulsions, tout autant que le mystère des éclairs de bonté qui traversent cette chronique alpine, sont fort délicats à démêler et à évaluer dans leur véracité. Après la virtuosité du préambule, Giono adopte une style de récit plus traditionnel sans pour autant sacrifier à une narration strictement chronologique, et même si toute l'efficacité de l'œuvre repose là-dessus, il y a quelques tunnels descriptifs qui s'intègrent mal à l'ensemble, sans doute pour endormir la vigilance du lecteur.Aux deux tiers du livre, quand Thérèse reprend la parole pour corriger le récit d'une autre, le style se fait tellement oral et est tellement étayé par des tournures idiomatiques populaires, encore plus que précédemment, qu'on a l'impression d'un personnage prenant l'auteur (ou du moins le sentiment d'objectivité) à partie. L'effet est saisissant tant il s'appuie plus sur des chevilles et des marqueurs du discours que sur des informations nouvelles. La force mauvaise de l'âme et du dire de Thérèse apparaît alors vraiment comme une distorsion du banal.

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