L'enfant qui mesurait le monde [PDF] Download
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Détails sur le produit
- Publié le: 2017-01-06
- Format: Grands caractères
- Langue d'origine:
Français - Dimensions: 5.91" h x
.79" l x
8.66" L,
- Reliure: Broché
- 352 pages
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
3 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile.Le nombre d'or
Par traversay
C'est une fable, une parabole, un conte en forme d'hommage à un pays dévasté par une crise économique sans précédent. L'enfant qui arpentait le monde est un hymne à la Grèce, à sa beauté, son histoire, ses philosophes et à ses habitants. Trois d'entre eux constituent le socle du livre de Metin Arditi : Eliot, l'architecte américain, qui après avoir perdu sa fille, revient à ses origines ; Maraki, la pêcheuse à la palangre, divorcée ; Yannis, son jeune fils autiste, qui comptabilise chaque jour les arrivées des bateaux au port et les clients au café, pour maintenir l'équilibre du monde. Ils vivent sur l'île de Kalamaki, encore préservée du tourisme de masse, mais pour combien de temps ? Arditi, en écrivain de l'intime face au tumulte d'un monde qui change souvent pour le pire, lie entre eux les destins de ses personnages principaux et raconte en parallèle un environnement où l'avenir semble tributaire de décisions marquées par la corruption et le clientélisme et les diktats de Bruxelles. L'auteur accentue la pureté de son trio face au dérèglement économique avec un soupçon de candeur et en frisant parfois le manichéisme mais le portrait de Yannis, notamment, et les rapports que la communauté ilienne entretient avec lui, autant que la recherche par Eliot du fameux nombre d'or, contribuent à élever le roman, à lui donner une dimension quasi mystique et morale. La sagesse de la Grèce antique, battue par les flots de la récession, perdure et délivre, au moins dans la fiction de L'enfant qui mesurait le monde. Utopique et illusoire ? Sans doute, mais c'est précisément là où se situe la licence et la liberté de l'écrivain.
6 internautes sur 7 ont trouvé ce commentaire utile.RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE-CHRONIQUE
Par CULTURE-CHRONIQUE
Metin Arditi, écrivain francophone d’origine turque nous propose avec “L’enfant qui mesurait le monde” une oeuvre romanes que construite autour d’un triptyque plein du tragique de l’existence et d’une humanité baignée par le soleil grec de Kalamaki, une île dévastée par la crise. D’abord il y a le petit Yannis qui explore les profondeurs du silence, coupé du reste du monde dans un autisme abyssal. Quand il pense à une personne, il ne se souvient pas d’un nom mais d’un nombre. Il connait exactement le poids de poissons que les pêcheurs rapportent chaque jour au port. Il se souvient de tout dès lors qu’il s’agit de mesurer. “ Sur l’île, tout le monde pêchait, mais ceux qui en faisait profession n’étaient plus que cinq. Yannis avait attribué un numéro à chacun et calculé leur ordre d’arrivée sur une moyenne de cent jours.” A sa manière il est un génie seul et incompris, enveloppé dans un voile épais de solitude. Il y a aussi Maraki la mère de Yannis, qui chaque jour se lève avec le soleil de la Méditerranée pour aller pêcher à la palangre, pêche qui exige des trésors de techniques et de patience. “ Elle n’en pouvait plus. A chaque instant il y avait un pacte à respecter. Et en retour, rien. Ni geste ni sourire. C’était cela, sa vie. Des pactes à n’en plus finir et des heures à s’esquinter en mer. Elle aurait pu choisir la pêche au filet. Par comparaison à la palangre, c’était le grand confort. Mais elle n’aurait rien attrapé de bon.” Maraki est une mère courage qui use sa vie dans un combat dont seule la Méditerranée peut fixer le tribut. Le dernier personnage du triptyque est Eliot, un architecte retraité qui vient de perdre sa fille Eurydice et dont il veut prolonger la quête : trouver le Nombre d’Or. Eliot a prit en amitié le petit Yannis à qui il raconte les grands mythes de l’Antiquité et la vie des Dieux grecs. “Il raconta pourquoi Thétis avait plongé son fils dans le Styx en l’agrippant par son talon et qu’à cet endroit il serait plus tard atteint par une flèche mortelle.- Il aurait dû mettre une petite armure autour de son talon, dit Yannis. Il ne serait pas mort.“Entre ces trois personnages, dans un pays en plein bouleversement, battu par les vents mauvais de la crise économique, des liens très forts vont se tisser. Arditi nous convient au café Stamboulidis, chez Nektarios le coiffeur pour dames ou chez Vassilis le mareyeur. Le lecteur partage un peu du sol grec, profite de la bonne odeur des dorades grillées et se promène sur la côte de Kalamaki au soleil levant. “L’enfant qui mesurait le monde” est une ode à la beauté d’une Grèce éternelle, au coeur immense et à la générosité millénaire qui demeure inexorablement elle même malgré les évènements qui l’ébranlent. Le lecteur ne quitte pas ce roman, il prolonge son séjour à Kalamaki…Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
4 internautes sur 5 ont trouvé ce commentaire utile.Un roman positif, humain, sur l’amitié d’un jeune enfant autiste et d’un vieillard blessé.
Par Koryfée/Karine Fléjo
Metin Arditi entraîne le lecteur en Grèce, sur l’île de Kalamaki. Une île dévastée par la crise, sur laquelle le projet de construire un complexe hotelier paraît pour beaucoup être salutaire sur le plan économique.D’autres s’interrogent sur le bien-fondé de cette construction, comme Eliot, architecte retraité revenu vivre sur l’île où il a perdu sa fille 15 années plus tôt. Inconsolable, il est à Kalamaki pour achever l’étude qu’elle avait entreprise, à la recherche du nombre d’or. Marcher sur ses pas est une façon de la maintenir vivante. Perclus de solitude, il se laisse convaincre par le prêtre Kosmas, de venir en aide à Maraki, une jeune femme qui élève seule son fils autiste, Yannis. La femme vient en effet de perdre son père et n’a plus personne pour veiller sur son enfant, tandis qu’elle part la nuit à la chasse au palangre pour assurer les revenus-fussent-ils maigres, de la maisonnée.Yannis est un enfant enfermé dans sa bulle de silence, qui ne parle pas, ne soutient pas le regard. Un enfant fasciné par les chiffres. Les habitants de l’île l’ont pris sous leur aile, habitués à ses tocs de comptage des pesées ou des clients à la terrasse du café. Une façon pour le garçon de canaliser son angoisse face au désordre du monde.Le vieil homme accepte de soutenir la femme et son fils. Et de nouer avec eux des liens profonds. Seul Eliot va en effet percer le secret de l’univers de Yannis, trouver les mots à même d’ériger un pont entre lui et l’enfant. Il lui raconte les grands mythes de l’antiquité, la vie des Dieux, l’associe à ses recherches, l’aide à prendre confiance en lui. Et partage avec lui cet amour des chiffres. Une amitié bouleversante naît.L’enfant qui mesurait le monde, c’est la rencontre de trois solitudes, la naissance de liens authentiques entre trois êtres blessés. Un roman positif et humain, avec un autre regard sur l’autisme.Karine Fléjo pour le blog Les chroniques de Koryfée
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