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Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #13556 dans Livres
- Publié le: 2017-01-04
- Sorti le: 2017-01-04
- Langue d'origine:
Français - Dimensions: 6.97" h x
.67" l x
4.25" L,
- Reliure: Poche
- 221 pages
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
4 internautes sur 4 ont trouvé ce commentaire utile.Un autre regard sur l'immigration
Par Koryfée/Karine Fléjo
Azul, née en Bolivie dans une famille d’indigènes quechuas, fait partie de ces femmes immigrées économiques, qui ont tout quitté – pays, famille, mari, enfants, faute de trouver des moyens de subsistance dans leur pays. Et de s’expatrier, loin de ceux qui leur sont chers, dans un pays dont elles ne connaissent rien. Ni la langue, ni les coutumes ni les codes.Azul a grandi au sein d’une fratrie de 9 enfants, élevée par sa mère, Ximena, dans le petit village de Chuqui-Chuqui. Une famille matériellement pauvre mais riche de l’affection, du respect et des attentions que chacun porte aux autres. « La richesse n’est pas l’accumulation de biens, mais de liens à l’autre. » (p 39) Ximena cultive des fruits dans un jardin luxuriant, qu’elle échange sur le marché contre des produits pour les siens. Consciente de l’importance d’accéder à l’instruction, elle qui ne sait ni lire ni écrire, se sacrifie pour payer des études à ses enfants. Azul ira ainsi jusqu’au collège et deviendra secrétaire. Un mari et deux enfants plus tard, alors qu’elle a atteint une certaine stabilité, Azul voit ses repères s’effondrer. La crise économique que traverse la Bolivie l’oblige à partir chercher du travail à l’étranger, comme de nombreuses femmes. Direction l’Europe. Sans les siens. Mais pour les siens.Dans ce roman, Colombe Schneck dresse le portrait d’une femme indiciblement attachante, de ces combattantes de l’ombre, capables de déplacer des montagnes pour les leurs, d’accepter sans broncher des sacrifices énormes, des conditions de vie terriblement dures. Seules. Mues par la foi. Par leur amour pour autrui. Des femmes d’une bonté rayonnante, viscérale, pure. Et contagieuse.Un roman profondément humain. Une belle leçon de vie, de courage et de persévérance.Karine Fléjo pour le blog Les chroniques de Koryfée
1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.Fort décevant...
Par Pierre-yves Champenois
Grand amateur du style "Schneckien" (de ses premiers passages télévisuels à l'ensemble de ses romans), c'est avec un plaisir gourmand renouvelé à chaque sortie littéraire de l'auteure que je me suis précipité sur ces "Soeurs de miséricorde". Et mon dieu que la déception a été grande ! S'éloignant des beaux quartiers et de ses souvenirs personnels (du moins tout le laissant à penser), Colombe Schneck nous emmène en pays andin (en Bolivie exactement) pour nous raconter l'histoire d'une fille qui deviendra femme obligée de s'ouvrir à une modernité capitaliste bien éloignée de ses origines culturelles et familiales.D'un point de départ intéressant (la vie d'une femme passée entre des pays et des cultures très différentes), Schneck laisse libre place à une histoire monotone, très descriptive des paysages (qui aime Le Clézio aimera ce bouquin...) et pour laquelle, malheureusement, on ne parvient que trop rarement à vibrer.Certes, l'écriture a encore gagné en densité et se fait de plus en plus belle à chaque nouveau roman. Pour autant, cela ne fait pas tout et en l'occurrence ne parvient pas à capter ici l'attention du lecteur dans la durée. Sans trop savoir d'où vient cette histoire (à un moment donné, on se questionne fortement pour savoir si cette fille n'est pas une connaissance parisienne de Schneck, mais cela n'est jamais révélé clairement), on ne parvient pas véritablement à avoir de l'empathie pour cette femme ballottée entre les continents. Dommage, il y avait sans doute beaucoup mieux à faire sur un tel sujet. Encore aurait-il fallu que l'auteure ne se contente pas d'empiler béatement de beaux paysages et de bons sentiments, ça fait trop pour une relation miséricordieuse...
1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.Un livre plein de bons sentiments mais un peu en deça de ce que l'on peut attendre du récit de la vie de ces exhilés.
Par B. M.
Livre charmant où l'on retrouve l'ambiance des environs de Santa Cruz de la Sierra et Sucre mais pas celle de Potosi.Ville certes minière, mais la vieille ville est superbe et la jeunesse y court gaiement les rues aux heures des cours.A croire que l'auteur n'a fait qu'effleurer cette cité si elle l'a vraiment visitée.
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